Qu’est ce qu’une femme en autorité vibratoire?
Sur la chaîne YouTube de Sixième Fondation, Pierre-Luc interviewe Rachel sur sa conception de la femme vibratoire.
Qu’est ce qu’une femme en autorité vibratoire?
Sur la chaîne YouTube de Sixième Fondation, Pierre-Luc interviewe Rachel sur sa conception de la femme vibratoire.
Il y a présentement, déferlant sur le monde, une pandémie de gouttelettes d’idioties en tous genres suscitée autant par les éternuements sensationnalistes des divers médias que par la peur viscérale de la masse devant un inconnu terrifiant qui les pousse à la frénésie de trouver vite quelque chose à quoi se raccrocher, si fallacieux et aussi imbécile que puisse être cette fragile bouée éventuelle, petit jouet de plastique sur une mer démontée.
Si nous survolons d’un peu plus haut le phénomène, nous voyons une masse humaine angoissée qui s’agite en tous sens pour tenter de colmater la fuite de repères qui la terrorise. Le cerveau primitif reptilien à son meilleur.
L’être plus conscient et plus proche de son intelligence réelle peut-il avoir accès à quelque chose de mieux ?
Catastrophes, menaces climatiques ou pandémies ne sont tout d’abord que des événements, un point c’est tout. Des événements au départ indépendants du champ magnétique vital ou émotionnel de l’être conscient qui, à partir de son degré d’élévation mentale et de maîtrise de ses divers processus internes, peut en faire soit un tsunami dévastateur pour lui-même, soit au contraire un moyen d’élévation et de gain de puissance de premier choix dans son parcours évolutif.
Prenons par exemple le cas d’une personne qui devant une situation perturbante risquant de se prolonger dans la durée s’appliquerait à respecter à la base au moins l’une des cinq règles suivantes :
1. Se reconnaître pour toujours comme détentrice d’une vibration et d’une autorité absolues et inébranlables, plus élevées en fréquence que celles de l’événement et de la peur que ce chaos charrie avec lui.
2. Pulser avec puissance son autorité mentale pour casser à tout moment en elle tous les registres de pensées qui veulent la faire glisser vers la crainte, la défaillance et la contamination sur tous les plans.
3. Se maintenir en créativité constante dans le domaine où elle excelle ou dans celui qu’elle a toujours voulu découvrir, arts, sciences ou expression de la parole par exemple, renforçant ainsi à la fois sa puissance de volonté, sa centricité et son système immunitaire à tous les niveaux.
4. Couper rapidement dans ses besoins, les faux et tous ceux qui veulent se présenter comme vrais à chaque instant, répondant honnêtement et sans complaisance chaque fois qu’elle commence à être envahie par le désir de quelque chose ou par l’envie de se plaindre de son absence à la fameuse question (froide et sèche) : «En as-tu vraiment besoin ?»
5. Couper intelligemment dans ses dépenses en énergie de «générosité inquiète», souvent basée sur la culpabilité résultant d’un appel émotif de l’âme à s’impliquer davantage dans une action de sauvetage, à ne pas rester les bras croisés devant le désastre et à prendre impulsivement une responsabilité personnelle dans l’événement en cours.
Se brancher à la place sur la «générosité intelligente» en posant froidement à l’esprit qui l’habite, donc à soi-même, une autre question exigeant uniquement comme réponse un «oui» ou un «non» définitif : «Est-ce que ça m’est demandé ?»
Cet être n’aurait-il pas alors fait preuve d’une intelligence évolutive réelle, au-delà de l’émotion et de l’âme, évolution qui le propulserait de façon accélérée vers son futur cosmique ?
N’aurait-il pas davantage de calme et de paix ? Davantage de santé ? Davantage de joie ?
Continuant le mouvement entrepris il y a quelques semaines de vous présenter de temps à autre des personnes assez «haut-branchées» qui ont actionné leur créativité parallèlement à un travail de coaching personnel et ont accepté d’être présentées comme des partenaires de réseau avec Sixième Fondation, voici aujourd’hui un texte de Laura B.
Laura B.
Tu es seul, au milieu de nulle part. À la merci d’une faune aride. Tu as sorti ton arme. Tes mains sont moites. Non pas à cause de la chaleur, mais à cause de ta peur. Qui s’est décuplée une fois avoir entendu le rugissement de ce lion.
Un son qui t’immobilise. Un son qui se rapproche. Qui, malgré la terreur, te permet d’être prêt. Prêt à tirer. Pour finalement supprimer la menace.
Ainsi, ce rugissement n’est-il pas qu’un ultime acte d’arrogance de la part d’un prédateur qui se sait tout puissant ? Acte qui aura annulé tout effet de surprise. Qui aura armé ton besoin de survie. Et qui aura mis fin à la sienne.
Mais lorsque tu étais en train d’écouter attentivement ce son, lorsque tu étais en train de guetter le grand méchant lion, quelque chose d’autre te guettais.
Dans le silence, se mouvant dans une lenteur malicieuse, se trouvait une force presque imperceptible. Un prédateur que tu ne vis que trop tard. Car, autour de tes pieds, s’était tendrement enroulé un boa qui avait déjà commencé à te tuer.
Le danger est aussi silencieux. Il est aussi invisible.
Nul besoin d’être Lafontaine pour comprendre la morale de cette histoire.
La puissance ne prend que la forme qu’on lui donne. Elle n’a aucune préférence. Elle appartient à celui qui sait la porter.
On ne compare pas la force d’un lion à celle d’un serpent comme on ne devrait comparer la force d’un homme à celle d’une femme.
La force de l’homme, du mâle, n’est plus à démontrer.
Tel le lion, lorsque l’homme met en action sa puissance, elle est tangible. Épaisse, lourde et bruyante. À la vision de cet être qui nous impressionne, on est traversé par la peur. La gorge nouée, nous prions pour disparaître. Certains mêmes chercheraient à se soumettre.
Tel le rugissement du lion, il crée la terreur chez ses adversaires. Mais prend le risque d’être prévisible et surtout, visible.
Or, lorsque l’on voit le serpent, on est comme figé sur place. Hypnotisé par la peur. Une peur froide et silencieuse. Avec un désarroi terrible, de comprendre que l’on est impuissant.
Qui pourrait croire qu’une chose aussi informe puisse être aussi mortelle ?
La femme aussi, se meut dans les ténèbres. Tel le serpent, elle connait ses faiblesses dont elle joue comme elle use de ses qualités.
Elle sait que son image ne démontre pas sa force. Son corps n’est qu’une illusion de vulnérabilité éclipsant sa puissance réelle. Que tu comprends dans la fermeté de son regard. Dans sa patience et sa résilience. Dans le silence mortel caché derrière ses lèvres.
La puissance de la femme ne prévient pas.
Tu n’as pas à choisir entre vouloir être un serpent ou un lion. Car tu n’es ni serpent ni lion.
Tu n’as pas à choisir quel genre de prédateur, quel genre d’individu être. Car tu n’es rien d’autre que toi-même. Et la puissance prendra ton visage lorsque tu la mettras en application.
Reproduire la force d’un autre n’est alors que l’emprunt d’une force qui s’est dénaturée. Et non la création pure et réelle de puissance. Qui, elle, n’a aucun prédateur.